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Mouvement Républicain et Citoyen 71 avec Emmanuel Jallageas, 1er Secrétaire Fédéral

Mouvement Républicain et Citoyen 71 avec Emmanuel Jallageas, 1er Secrétaire Fédéral

avec Jean - Pierre Chevènement


La lettre électronique de RESO – SEPTEMBRE 2009

Publié par Baudouin Grégory Mouvement Républicain et Citoyen sur 20 Septembre 2009, 17:14pm

Catégories : #REsistance SOciale Marinette Bache

Veuillez trouver ci-joint la lettre électronique de Résistance sociale de septembre

 

 

bando-perso.jpg 

 

La lettre électronique de RESO – SEPTEMBRE 2009

 

 

 

Chers amis, Chers Camarades,

 

Alors que la crise mets chaque jour des milliers de salariés sur le carreau, que la pressurisation au travail atteint des sommets, que la précarisation gagne l’ensemble de notre société, le gouvernement persiste et signe pour la déstructuration de l’un de nos plus éminents services publics, vecteur de lien social : La Poste.

 

Un Comité national contre la privatisation de La Poste s’est mis en place voici de nombreux mois. Celui-ci regroupe, comme vous le savez, l’ensemble des partis de gauches du NPA au PS et de nombreuses forces syndicales (CGT, Solidaires, FO, CFTC) et une myriade d’association : www.appelpourlaposte.fr  . Devant l’autisme du gouvernement ce comité vient de décider de l’organisation d’une votation citoyenne le 4octobre.

 

Résistance sociale vous invite à participer activement à cette campagne et d’en parler un maximum autour de vous, dans vos entreprises, à vos voisins, au sein de votre famille, d’attirer l’attention de vos amis afin que chacun prenne conscience que cette décision ne peut et ne doit pas se faire sans réaction.

 

Ou mieux encore allez sur le site national et contactez le comité local ou départemental le plus proche de chez vous ! Tenez une urne ! www.appelpourlaposte.fr

 

Pour télécharger le matériel de vote, cliquez ici

 

Bien entendu cela ne constitue pas, hélas, les seules attaques des milieux financiers et de leurs relais gouvernementaux sur la chose publique (RGPP, hôpitaux, CQ, retraites …). L’impunité et l’indécence des rémunérations des capitaux continuent pendant que l’ensemble des salariés paie la note du train de vie des milieux financiers (malgré des discours aux accents jaurésiens, Nicolas Sarkozy ne trompe personne : travail le dimanche, démantèlement du code du travail, maintient du bouclier fiscal, simple étalement des bonus des traders sur 3 ans au plus grand bénéfice des banques…). 

 

Selon le gouvernement la Crise serait finie. Ils ont raisons : la bourse repart, les actions s’envolent… oui, mais voila, pour nous, la crise sociale, comme vous le verrez dans cette lettre, ne fait, hélas, que commencer. Et la seule réalité qui compte est la réalité sociale : y en a-t-il d’ailleurs une autre ? Espérons que nous serons nous unir pour créer le rapport de force nécessaire. Résistance sociale apportera sa pierre à l’édifice en organisant sa réunion annuelle le samedi 17 octobre à Dunkerque : « Comment articuler résistance sociale et alternative au capitalisme ? ».   

 

Salut et Fraternité !

 

Pour le Bureau de Résistance Sociale

Béatrice Durand

 

 

Pour toute correspondance : 121 avenue Ledru Rollin 75011 PARIS - Tel : 06 33 82 05 15

Site Internet : www. resistancesociale.fr

Courriel : resistance.sociale@laposte.net

 

 

Sommaire

 

 

I. - Les nouvelles du front social en France

 

I - a. – Licenciements, fermetures d’usines, plans sociaux, …

 

106.800 destructions nettes d'emplois au 2e trimestre 2009

Samro : le dépôt de bilan est confirmé

 

I - b. – Du travail mais à quel prix, …

 

 

II. – Mobilisons-nous

 

Comité national contre la privatisation de La Poste, pour un débat public et un référendum sur le service public postal

 

L’éducation est notre avenir : il ne doit pas se décider sans nous !

 

 

III– 7ème Vendémiaires de Résistance Sociale

 

 

 

I. - Les nouvelles du front social en France

 

I - a. – Licenciements, fermetures d’usines, plans sociaux, …

 

106.800 destructions nettes d'emplois au 2e trimestre 2009

 

L'économie française a enregistré 106.800 pertes nettes d'emplois salariés au deuxième trimestre (-0,6% par rapport à janvier-mars, -2,1% sur un an), moins qu'au premier trimestre, selon des données définitives publiées jeudi par le ministère de l'Emploi.

Cela ramène le nombre de salariés dans l'ensemble des secteurs (hors agriculture et emploi public des secteurs non marchands) à 17,98 millions fin juin, indiquent les données définitives de l'Insee et de la Dares.

 

Dans les secteurs principalement marchands, le recul qui atteint 113.700 postes est pire que les données provisoires annoncées mi-août, qui faisaient état d'une baisse de 74.100 emplois sur ce périmètre.

De fin juin 2008 à fin juin 2009, il y a eu au total dans tout le secteur privé (hors agriculture et emploi public) 380.900 postes en moins.

 

Au deuxième trimestre, les destructions nettes d'emplois ont été atténuées grâce une stabilisation de l'intérim, qui a progressé de 2.500 postes (+0,6%) après deux trimestres de très fortes baisses, selon ces données.

En un an, le nombre de postes temporaires, comptabilisés dans les services - même quand il s'agit de missions effectuées dans l'industrie ou le bâtiment - a cependant chuté de 177.700 (-28,9%). La baisse de l'emploi salarié est donc "pour la première fois depuis le deuxième trimestre 2008, entièrement imputable aux secteurs hors intérim", souligne l'Insee dans un communiqué.

 

Alors que, depuis le deuxième trimestre 2008, la différence entre le nombre d'emplois créés et détruits avait été de plus en plus négative au fil du temps, les chiffres définitifs du deuxième trimestre 2009 semblent marquer un infléchissement.

 

Lors des trois premiers mois de 2009, l'économie française avait détruit près de deux fois plus d'emplois salariés (-178.700) que sur tout 2008, un record historique qui avait attaqué le noyau des emplois durables. Dans l’industrie, l'hémorragie des effectifs s'est poursuivie au deuxième trimestre, tandis que dans les services (qui incluent l'intérim) et dans la construction, les pertes d'emplois ont légèrement décéléré comparé au premier trimestre.

 

Samro : le dépôt de bilan est confirmé

 

Le couperet est tombé pour le constructeur de semi-remorques implanté à Fontenay-le-Comte et Nort-sur-Erdre. L'avenir des 473 salariés s'assombrit.

 

Les représentants du personnel sont sortis tête basse, hier vers 11 h 30, du comité central d'entreprise qui se tenait au siège social de Samro, à Fontenay-le-Comte (Vendée). Sans surprise, Stéphane Soulard, le PDG, a annoncé le dépôt de bilan de la Seg-Samro. Cette branche est la plus importante du groupe. Elle emploie 473 salariés sur trois sites : Fontenay, Nort-sur-Erdre (Loire-Atlantique) et Balbigny (Loire).

 

« Les dirigeants nous ont dit qu'ils n'avaient plus de visibilité, relate Jean-Marie Pouvreau, délégué CGT. Il n'y a quasiment plus de commandes et le chiffre d'affaires devrait difficilement atteindre 70 millions d'euros en 2009. » Rappelons qu'il a atteint 151 millions d'euros l'an dernier et 176 millions d'euros en 2007. La société n'a enregistré que 13 commandes lors de la dernière semaine d'août et seulement sept cette semaine.

Le secteur du transport est touché de plein fouet par la crise et face une trésorerie qui s'est dégradée au fil des mois, l'entreprise n'a pas eu d'autre choix que de prononcer la cessation de paiement.

 

La procédure enclenchée

 

Le dossier de Samro est étudié dès ce matin au tribunal de commerce de La Roche-sur-Yon. À l'issue de l'audience, un administrateur sera désigné pour étudier la situation économique de l'entreprise. La période d'observation débutera, c'est le tribunal qui en déterminera la durée. Les dirigeants souhaitent réaliser un plan de continuation et non un plan de cession.

 

Plan de continuation

 

Le plan de continuation permet la poursuite de l'activité de l'entreprise par ses dirigeants actuels et d'exclure l'arrivée d'un repreneur. Le tribunal acceptera ou rejettera le plan selon le diagnostic de l'administrateur. Cette décision devrait tomber la semaine prochaine.

Les dettes seraient ainsi gelées, les salaires versés, le paiement des fournisseurs étalé et le plan de formation financé par la Région à hauteur d'un million d'euros, pourrait démarrer mi-septembre.

Le plan social, qui prévoit 109 licenciements sur les trois sites, est bien entendu maintenu. « Il pourrait même être revu à la hausse, craint Jean-Marie Pouvreau. La situation est incertaine. Une chose est sûre, il y aura de la casse. »

 

Réunion en préfecture

 

Une réunion pourrait se dérouler cet après-midi à 15 h à la préfecture de Nantes. Il sera question du million d'euros alloué par le conseil au laser sera la seule conservée à Nort-sur-Erdre, la table ronde portera également sur l'avenir du site de Loire-Atlantique.

 

 

I - b. – Du travail mais à quel prix, …

Mutations et tentatives de suicide déclenchent une grève chez France Télécom

 

Le climat est tendu au sein de l'opérateur français. Les syndicats dénoncent la dégradation des Erreur ! Référence de lien hypertexte non valide. de travail, à l'origine selon eux de plusieurs suicides au cours des derniers mois. La tentative de Erreur ! Référence de lien hypertexte non valide., cette semaine d'un salarié juste après l'annonce de sa mutation à une nouvelle fois mis le feu aux poudres.

 

Sud, CGT et FO appelaient le 10 septembre à une journée nationale d'action. A midi, la grève touchait 13,7% de salariés. La date retenue n'est évidemment pas le fruit du hasard, puisque c'est également aujourd'hui que se tient la réunion du comité national d'hygiène et de sécurité des conditions de travail de Erreur ! Référence de lien hypertexte non valide..

Pas d'augmentation des suicides selon la direction

 

Un rendez-vous fixé par la direction après plusieurs cas de suicides cet été : 6 selon la CFDT et 22 depuis février 2008. L'exécutif de l'opérateur français avance lui d'autres chiffres : 28 suicides en 2000, 29 en 2002 et 12 en 2008.

 

Plusieurs mesures ont déjà été mises en place chez l'opérateur, dont la création d'un observatoire du stress et des mobilités forcées. Les cellules d'écoute crées depuis deux ans ont également été renforcées.

 

Dans un article paru ce matin dans Le Parisien, le directeur des ressources humaines de FT, Olivier Barberot, annonce de plus la volonté du groupe de renforcer la prévention contre les suicides par la formation de 20 000 cadres.

 

Un management coercitif mis en accusation

 

Olivier Barberot a de nouveau nié une hausse des suicides, minimisant l'impact des restructurations et des mutations. Statistiquement, pour un groupe d'un peu plus de 100 000 salariés, France Télécom serait dans la norme.

 

Néanmoins, en réaction à la tentative de suicide du technicien de Troyes cette semaine, la direction a pris la décision de geler les mutations jusqu'au 31 octobre. Elle s'engage également à confier à un cabinet un audit sur les suicides au sein du groupe.

 

Il n'est pas sûr toutefois que les différentes mesures annoncées satisfassent les syndicats pour qui ce phénomène découle directement des méthodes de management, évoquant des préoccupations de rentabilité exacerbées et des objectifs de suppressions de postes. Cet été, un salarié marseillais désignait dans sa dernière lettre le management par la terreur comme cause de son suicide.

 

 II. – Mobilisons-nous

 

 

 

Comité national contre la privatisation de La Poste, pour un débat public et un référendum sur le service public postal

 

MODE OPERATOIRE DE LA VOTATION CITOYENNE

DU 28 SEPTEMBRE AU 3 OCTOBRE 2009

 

Pour le bon déroulement de la votation, certains impératifs sont à respecter, afin de garantir le caractère démocratique et légitime de notre démarche.

 

La période de la votation Pour un maximum d’efficacité, il sera possible de voter du 28 septembre au 3 octobre 2009 suivant les opportunités, le temps fort restant bien sur le samedi 3 octobre. Il est possible d’organiser des votations anticipées sur des lieux publics très fréquentés avant le 28 septembre, par exemple les marchés se tenant le dimanche 27 septembre et autres évènements.

 

Les horaires du vote Le seul impératif reste la fin du scrutin, fixée à 18 heures le samedi 3 octobre pour la remontée des résultats au niveau national. La compilation des résultats se fera au fur et à mesure, en tout état de cause le Comité national sera « de permanence » le dimanche 4 octobre 2009.

 

Les lieux de vote Il n’y a pas d’impératif, en mairie, sur les marchés, bien sur devant les bureaux de poste, dans ou aux abords des entreprises où cela sera possible. L’objectif étant de donner au maximum de personnes la possibilité de se prononcer. Une carte interactive sera disponible en ligne sur le site du comité national avec par département les lieux de vote.

 

Le vote

ü      Toute personne âgée de plus de 18 ans peut voter, quelle que soit sa nationalité, il n’est demandé aucune pièce d’identité.

ü      Sur la feuille d’émargement, faire inscrire son nom, prénom, sa ville de résidence et sa signature

ü       Elle pourra ensuite cocher la case de son choix sur le bulletin de vote et l’introduire dans l’urne.

ü      Le processus pouvant être un peu long, prévoir suffisamment d’assesseurs en fonction de la fréquentation potentielle.

ü       

Dépouillement et remontée des résultats

 

Cas 1 :   Il existe un comité dans votre département, (Comités départementaux en page d’accueil du site http ://www.appelpourlaposte.fr/), c’est lui qui organise le dépouillement et la remontée des résultats sur le comité national.

Cas 2 :   Il n’y a pas de comité départemental, dans ce cas le comité local ou la commune organisatrice organisent le dépouillement et remontent les résultats au comité national

 

Pour toute information sur la création de comités, les communes désireuses d’organiser la votation, les emplacements des bureaux de vote etc, nous écrire à contact@appelpourlaposte.fr

 

 Pour le matériel de vote, cliquez ici

 

Vous avez le choix de décider aujourd’hui de ce que vous voulez pour demain

 

 

 

N° de téléphone pour toutes informations : 01.44.62.12.48

 

 

L’éducation est notre avenir : il ne doit pas se décider sans nous !

Appel de 25 organisations

 

Oui, Monsieur le ministre : un pays qui croit en son avenir est un pays qui investit dans l’éducation !

Déclaration commune du 4 septembre 2009.

 

Nous constatons en cette rentrée 2009 les graves conséquences de la crise financière et économique en France. La hausse exceptionnelle du chômage et de la précarité accompagnée d’un désengagement progressif de l’Etat vis-à-vis des services publics provoquent une véritable crise sociale.

 

Dans un tel contexte, un grand service public laïque d’éducation est une chance. Pourtant, il est victime de la politique dangereuse du gouvernement : l’appauvrissement de l’Ecole, la suppression de 50 000 postes dans l’Education nationale depuis 2002, la suppression de la carte scolaire, l’abandon de l’Education prioritaire, les menaces sur la maternelle… accentuent inlassablement les inégalités dans notre société et font peser sur les collectivités territoriales des obligations qui relèvent de l’Etat.

 

Les organisations signataires ne peuvent accepter la programmation de 16 000 suppressions supplémentaires à la rentrée 2010. Elles demandent un changement conséquent de la politique de l’emploi public avec un arrêt des suppressions de postes et la mise en place d’un plan pluriannuel de recrutement, mais aussi l’abandon de la politique menée vis-à-vis de la carte scolaire.

 

Les affirmations sur la nécessité d’investir dans l’Education et de réduire les inégalités doivent se traduire par des décisions en rupture avec les politiques menées ces dernières années.

 

Après deux années durant lesquelles l’Ecole a été brutalisée, il est temps de renouer un réel dialogue constructif avec l’ensemble de la communauté éducative pour une école qui assure la réussite de tous et connaisse une nouvelle vague de démocratisation. Cela signifie qu’il faut traiter de façon ambitieuse la préparation du budget 2010, la formation des enseignants, les remplacements, la place de l’école maternelle, primaire et du collège, les programmes et les pratiques, le rôle des associations complémentaires… L’orientation scolaire doit être un levier pour la réussite des jeunes via un service public d’orientation de l’Education nationale doté de moyens importants et de personnels qualifiés.

 

Tous ces dossiers doivent être ré-ouverts.

 

Ainsi le processus de réforme du Lycée doit être relancé sans précipitation. Le calendrier fixé par le ministre est trop court pour construire la réforme ambitieuse que la communauté éducative attend, d’autant plus indispensable que la société est en crise.

 

Alors que Luc Chatel affirme agir dans « un esprit de dialogue et de concertation » les organisations signataires de cet appel, lui demandent d’ouvrir dès la mi-septembre 4 chantiers de réflexion et de travail sur :

 

ü       L’accès et la réussite d’un plus grand nombre de jeunes au Lycée et l’orientation scolaire.

ü       Des contenus et des pratiques pour une nouvelle vague de démocratisation du lycée.

ü       Un lycée qui ne soit pas seulement un lieu d’étude mais qui soit aussi un véritable lieu de vie et d’apprentissage de la citoyenneté et de l’intégration.

ü       Une réforme qui permette à un maximum de jeunes d’accéder à l’enseignement supérieur et d’y réussir.

 

Sur tous ces points, les organisations signataires s’adressent solennellement au ministre de l’Education nationale pour qu’il entende et mette ses actes en conformité avec ses paroles en donnant sans tarder de premiers signes concrets et en ouvrant les discussions nécessaires. Elles se retrouveront à la fin du mois pour faire le point et évaluer la situation et les réponses du ministre.

Ne rajoutons pas à la crise économique celle de l’Education : investissons pour elle !

 


Liste des premiers signataires :

CEMEA - CRAP-Cahiers pédagogiques - FAEN - FCPE - FEP-CFDT - FERC-CGT - FOEVEN - FSU - GFEN - ICEM-Pédagogie Freinet - La JPA - La Ligue de l’enseignement - SGEN-CFDT - UNEF - UNL - UNSA Education

 

Déjà 46102 signatures sur le site http://www.fcpe.asso.fr/

  

 

III– 7ème Vendémiaires de Résistance Sociale

 

  

Samedi 17 octobre 2009

à Dunkerque (59)

 

 

« Renforcer la résistance sociale, construire l’alternative politique »

 

 

 

Accueil à partir de 10h

 

10h30 – 12h30 : 1ère table-ronde :

 

Fermetures d’entreprises, délocalisations sauvages, atteintes au code du travail, privatisations, radicalisation des luttes, désespérance sociale, …

            Comment créer un véritable rapport de forces ?

 

 

14h30 – 17h : 2ème table-ronde :

 

Foisonnement de clubs de réflexion, multiplication des collectifs, luttes unitaires, débats et combats communs,…

Comment créer les conditions de la résistance sociale et de l’alternative politique ?

 

 

Les intervenants ainsi que le déroulement détaillé de cette journée et l’adresse exacte, vous seront rapidement communiqués

 

En espérant vous compter parmi nous

 

 

Vous aussi, refusez la résignation,

Adhérez À RÉsistance Sociale !!!

 

 

 

 

 

 

Le bulletin Résistance Sociale est une publication de RESO, association loi 1901

 

Siège social :

121 avenue Ledru Rollin 75011 PARIS

 

Tel : 06 33 82 05 15

Site Internet : www.resistancesociale.fr

Courriel : webmaster@resistancesociale.fr

Présidente de RESO et directrice de la publication :

Marinette BACHE

 

 

 

 

 

 

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*£ Je m’abonne au bulletin « Résistance Sociale » et je verse 5 euros

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À retourner à : RÉSO 121 avenue Ledru Rollin 75011 PARIS (chèque à l’ordre de Résistance Sociale)

 

 

 

 

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