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Mouvement Républicain et Citoyen 71 avec Emmanuel Jallageas, 1er Secrétaire Fédéral

Mouvement Républicain et Citoyen 71 avec Emmanuel Jallageas, 1er Secrétaire Fédéral

avec Jean - Pierre Chevènement


Conférence de presse de Georges SARRE, Maire adjoint de Paris à la Prévention et à la Sécurité

Publié par Baudouin Grégory Mouvement Républicain et Citoyen sur 4 Octobre 2009, 03:29am

Catégories : #Georges Sarre

Le 23 septembre, Georges SARRE présentait à la presse les dispositifs municipaux de prévention et de protection, ainsi que l'orientation politique de son action d'adjoint au Maire de Paris chargé de la Prévention et de la Sécurité. Voici ci-après son intervention liminaire. Retrouvez aussi en fin d'article et en fichiers PDF joints les retombées médiatiques de l'événement.



Conférence de presse de Georges SARRE, Maire adjoint de Paris à la Prévention et à la Sécurité
Mesdames et Messieurs, merci d’être venus aujourd’hui, à cette conférence de presse. Quels sont les objectifs, les moyens, les caractéristiques, des actions municipales et départementales parisiennes en matière de sécurité et de prévention ? C’est le sujet, aride j’en conviens, mais crucial, qui nous réunit ce matin.

Mais d’abord, pourquoi vous proposer cette initiative aujourd’hui ?

Cette conférence de presse intervient au lendemain de la publication de statistiques par la préfecture de police, qui illustrent tant les mérites de notre action partenariale que la nécessité d’aller plus loin en matière de prévention et de traitement des phénomènes de violences.

Aller plus loin, cela passe par le plan de vidéo protection de la pp, et je sais que vous allez m’en parler. Donc je vous en parle… Ah, que d’encre ce plan fait-il couler ! Il intéresse davantage la presse qu’il n’émeut les Parisiennes et les Parisiens…

Mais justement, ma conviction, c’est que l’essentiel est ailleurs. Il est dans les actions, éducatives, policières, judiciaires, et dans les politiques municipales et départementales, en particulier les politiques de prévention, qui ne sont pas suffisamment connues et valorisées.

Je souhaite donc vivement qu’avec cette conférence de presse, vous mesuriez que l’enjeu sécurité et prévention mérite d’être traité, aussi, à l’aune de ces actions municipales et départementales.

La situation de la délinquance à Paris
Si la délinquance a baissé ces dernières années à Paris, grâce à la vigilance soutenue et à la politique équilibrée menée en partenariat par les acteurs de la prévention et de la sécurité, Police bien sûr, mais aussi Justice notamment, et bien sûr la Ville et le Département de Paris, nous restons préoccupés.

Ces douze derniers mois, la délinquance générale stagne à Paris aux environs de 235.000 faits constatés, dont 16.300 en août, au même niveau qu’août 2008.

Mais cette stabilité cache des réalités diverses. D’abord, il faut rappeler qu’il ne s’agit que de la délinquance constatée par les services de police, ce qui exclut toute une part de la délinquance non révélée. Ensuite et surtout, cette stabilité n’est acquise que grâce à une heureuse diminution de la délinquance économique et financière et des atteintes aux biens, qui vient compenser dans les statistiques de la délinquance générale une forte et préoccupante augmentation des atteintes volontaires à l’intégrité physique, autrement dit les violences.

Celles-ci, crapuleuses et non crapuleuses confondues, ce qui est nouveau à Paris, augmentent, et fortement : près de 5% (4,94%) de plus sur douze mois.

Dans la même période, on constate une hausse préoccupante de 5% de la délinquance dans les transports ferrés, sur le territoire parisien.

Face à cette situation, ni le préfet de police, ni le procureur de la République, le recteur, et a fortiori le Maire de Paris, ne croient que la vidéo protection est la réponse clés en main.

Au contraire, l’esprit du Contrat Parisien de Sécurité signé le 3 mars dernier, et en particulier ses volets préventifs, sont plus que jamais d’actualité.

Ce que fait la Ville de Paris
Conférence de presse de Georges SARRE, Maire adjoint de Paris à la Prévention et à la Sécurité
Dans le cadre des politiques partenariales définies dans le Contrat Parisien de Sécurité, je résumerais ainsi le rôle du Maire de Paris, qu’il m’a confié par délégation :

- donner de la cohérence à l’action publique partenariale, dans l’esprit de la loi de mars 2007 qui fait du Maire le coordinateur des politiques de prévention de la délinquance ; nous le faisons à partir de nos principes et de nos valeurs

- aiguillonner les services de l’Etat

- assumer ses propres missions et même au-delà, en mettant des moyens substantiels au service de la prévention.


1) Donner de la cohérence à l’action publique partenariale

Pour vous dire la vérité, lorsque Bertrand DELANOE m’a confié la délégation à la sécurité et à la prévention, je ne m’y attendais pas.

Mais vers cet Orient compliqué, j’allai avec des idées simples…

D’abord, le logiciel républicain.
En permanence, la Ville de Paris cherche à replacer les politiques partenariales de prévention et de sécurité dans le cadre global du contrat civique républicain. Nous voulons que les Parisiennes et les Parisiens comprennent que les règles qui s’appliquent à eux ne sont pas imposées arbitrairement, mais le fruit d’un choix démocratique et l’enjeu de la cohésion civique. Nous veillons bien sûr, parallèlement, à ce que ces règles s’imposent avec justesse et discernement.

Nous avons donc fait de la Citoyenneté, de la compréhension, de l’appropriation de la règle, l’axe numéro 1 du contrat de sécurité.

C’est dire si notre ambition est forte : faire de la sécurité un enjeu de liberté comprise et assumée, et non un enjeu de coercition sourde.

Nous sommes convaincus qu’à terme, le « pari de l’intelligence » civique est plus fructueux que celui de la répression aveugle.

Plus globalement, nous avons renégocié le Contrat Parisien de Sécurité, et obtenu une approche globale du traitement de l’insécurité, sans démagogie angélique (nous n’avons pas peur des outils répressifs), mais sans démagogie sécuritaire : il ne faut pas manquer d’éduquer, de faire de la médiation, de prévenir, d’assister, et voir toujours dans une personne, avant un délinquant, un Citoyen à responsabiliser et à émanciper.

C’est aussi en Citoyen que l’usager doit se comporter vis-à-vis des services de sécurité. Il faut respecter les forces de sécurité, qui doivent elles-mêmes se montrer respectueuses. Les respecter, quand, trop souvent, elles sont la cible de violences, verbales, physiques. D’abus aussi : et je rappelle que la ville de Paris s’est associée à la campagne de la Brigade des Sapeurs Pompiers pour limiter le recours exagéré et sans motif valable aux numéros d’urgence, en particulier le 18. Il faut réguler le service d’urgence de secours à victimes dispensé par la BSPP tant par l’offre, qu’il est nécessaire d’accroître, que par la demande, qu’il faut maîtriser.


2) Aiguillonner les services de l’Etat, c’est-à-dire les interpeller sur leurs missions

La signature du Contrat Parisien de Sécurité le 3 mars dernier témoigne de la capacité des partenaires que nous coordonnons à dépasser les oppositions et les différences pour agir au service de la sécurité des Parisiens.

Bien sûr, le logiciel républicain, et même jacobin, j’ose le dire, m’amène à considérer, comme le Maire de Paris, qu’il faut conforter, dans la capitale, l’unité de la préfecture de police : il n’y a qu’une seule police, celle de la préfecture de police, tant dans ses missions nationales que municipales.

Pour autant, c’est aussi avec une deuxième idée simple que j’allai vers ce mandat : l’expérience d’un élu de terrain. Maire du XIe pendant treize ans, je sais ce que sont les attentes, fortes, des citoyennes et des citoyens, y compris envers leurs élus municipaux, sur le plan de la sécurité.
Je mesure combien les incivilités quotidiennes contribuent au sentiment d’insécurité, et démarrent souvent la chaîne des faits d’insécurité. Et c’est donc bien décidé à agir résolument, et à peser sur les autres acteurs, que j’ai pris ces fonctions.

Aujourd’hui, il n’y aurait rien de pire qu’un sentiment de satisfaction des institutions en charge de la sécurité, face à une situation qui n’est pas, loin s’en faut, satisfaisante dans la capitale, même si elle l’est peut-être là davantage qu’ailleurs.

Ma pratique partenariale est donc à la fois ouverte, constructive, mais elle est exigeante.

Lorsque nous demandons davantage d’interdictions judiciaires de stade face aux phénomènes de hooliganisme et plus largement de violences verbales et physiques, nous sommes exigeants envers le Parquet et sa politique pénale.

Lorsque nous demandons au préfet de police des garanties sur les effectifs de la DPUP et plus généralement de la police nationale à Paris, dans le cadre de la réforme de la Police d’agglomération et de la RGPP, nous sommes exigeants.

Lorsque nous demandons, et nous les avons désormais obtenues, des données précises et transparentes de l’Education Nationale sur l’absentéisme lourd et les violences scolaires, nous faisons preuve d’une exigence nouvelle, et l’Etat finit par nous répondre.

Lorsque nous demandons avec force - et j’étais présent vendredi dernier à un rassemblement des personnels - que la Protection Judiciaire de la Jeunesse cesse d’être passée au concasseur, et que des réponses soient apportées aux près de 150 jeunes parisiens susceptibles de faire l’objet d’un suivi PJJ, mais inscrits sur liste d’attente faute de moyens, nous sommes exigeants. Je dépose d’ailleurs un vœu en ce sens au prochain Conseil de Paris, et j’ai proposé à Myriam EL KHOMRI d’en être co-signataire.

Au reste, nous ne nous interdisons pas de poser les questions qui intéressent la sécurité et la prévention au-delà de nos strictes compétences municipales. Ainsi par exemple, je le dis comme je le pense, mener une politique de sécurité et de prévention dans un contexte où la politique carcérale de la France est un fiasco retentissant, c’est très difficile ! Alors nous n’hésitons pas à mettre l’Etat devant ses responsabilités, en matière de suivi psychiatrique, de conditions de détention, de politique d’insertion des détenus…

Nous sommes donc, en effet, des coordinateurs actifs et exigeants du partenariat, sans hésiter à être, si c’est nécessaire, des contradicteurs des mauvais choix gouvernementaux.

Il n’y a nulle contradiction entre le fait que la Ville de Paris soit un partenaire actif et loyal de l’Etat, et le fait que la municipalité parisienne ne dissimule pas ses divergences avec certaines politiques gouvernementales.


3) Nous agissons

Bien sûr, nous ne faisons pas que coordonner et commenter. Nous agissons, et nous agissons directement.

J’ai souhaité vous le démontrer, en choisissant le cadre de cette base, nouvellement ouverte cette année, d’Inspecteurs de Sécurité de la Direction de la Protection et de la Prévention, élément important du dispositif municipal de sécurité.

J’en profite pour saluer l’ensemble des personnels de la DPP, auxquels vous pourrez vous intéresser de plus près, et son Directeur, Thierry LE LAY. Je parle des personnels qui sont ici, mais plus globalement des 1.100 personnels de la DPP, et des autres personnels des Directions qui concourent à la sécurité et à la prévention (au total plus de 2.000 agents).

On pense en premier lieu aux Inspecteurs et Contrôleurs de Sécurité, agents essentiellement assignés à la protection des équipements et des personnels municipaux, et la verbalisation des incivilités ; on pense aux Agents d’Accueil et de Surveillance des équipements et des espaces verts.

On pense aux Correspondants de Nuit, fonctionnaires municipaux à part entière, qui assurent une vraie médiation professionnelle.

On pense aux équipes de coordination des Contrats de Sécurité.
Je n’oublie pas aussi que la sécurité ne s’arrête pas à la lutte contre la délinquance, mais englobe aussi les enjeux de sécurité civile et d’ingénierie sécuritaire, pour lesquelles la DPP a développé des services au professionnalisme élevé.

Bien sûr, je ne cite pas tous les métiers, qui font l’objet de votre dossier de presse.


a/ Notre philosophie : prévenir

Que font ces agents ?

La Ville de Paris remplit d’abord ses missions de protection du domaine municipal : équipements, espaces verts…

La Ville veut ensuite donner une réalité et une ampleur à l’idée de prévention. Dans notre esprit, celle-ci ne s’oppose pas à la répression. Il n’y a nul angélisme dans notre démarche. Mais quand la police n’est plus de proximité, quand les solidarités se délitent, quand l’esprit civique décline, il faut redoubler d’effort sur la prévention.

- la prévention des incivilités

L’incivilité est le premier maillon de la chaîne d’insécurité et du sentiment d’insécurité. Avec nos inspecteurs, et avec toutes les forces des directions de la Ville qui concourent à la verbalisation, mais aussi à la pédagogie sur les incivilités, nous voulons faire de Paris une ville où la conscience des règles simples du quotidien, et où la conscience d’autrui progressent. C’est dans cet esprit que nous faisons des campagnes de propreté, des campagnes de prévention en matière de sécurité routière, des campagnes de verbalisation des infractions aux règles d’hygiène et de civilité.

- la prévention des incivilités et de la délinquance dans les quartiers sensibles

Les correspondants de nuit peuvent, comme les « bobbies » londoniens (mais attentions : ils ne sont pas, eux des policiers dotés de pouvoirs répressifs) être sollicités pour signaler et pallier tout dysfonctionnement de la cité ; ils interviennent d’initiative ou sur appel pour rappeler les règles de la civilité et du vivre ensemble. C’est une approche républicaine de la médiation qui mérite d’être amplifiée.

- la prévention des drames et des troubles liés à la présence de sans abri sur le domaine municipale, est prise en charge par notre Unité d’Assistance aux Sans Abri

- la prévention du climat d’insécurité, du trafic, des agressions, dans les immeubles sociaux, est très fortement améliorée grâce aux interventions nocturnes du Groupement Parisien Interbailleur de Surveillance, une centaine d’agents présents chaque soir sur le terrain, avec un financement à 52% Ville de Paris

- la prévention des accidents aux abords des écoles

- la prévention des agressions envers les personnes âgées, avec l’accompagnement aux guichets bancaires, dit « tranquillité seniors »

- la prévention de la récidive, avec le développement des travaux d’intérêt général…


b/ Bilan à 18 mois

Nous n’avons pas à rougir du bilan à 18 mois. Les arbitrages budgétaires 2009 pris par Bertrand DELANOE sont en pleine cohérence avec ses ambitions programmatiques.

D’ores et déjà, nous avons renforcé avec deux postes l’Unité d’Assistance aux Sans Abri.

Nous avons recruté 28 nouveaux Correspondants de Nuit, pour que, en ce début d’automne, entrent en action, au service des habitants, deux équipes nouvelles, dans le XVe arrondissement, quartier Dupleix et 4 Frères Peignot, et dans le bas Belleville, côtés Xe-XIe, couvrant notamment les quartiers Robert Houdin / Fontaine au Roi dans le XIe, et Grange aux Belles dans le Xe.

Nous avons aussi étendu à cinq nouveaux arrondissements le Service d’Aide aux Victimes d’Infractions Pénales (le SAVIP) : jusqu’alors expérimenté dans le XIIe, il couvre désormais le XIe, XIIIe, XVIIIe, XIXe et XXe arrondissements.

Nous avons initié et développé deux politiques nouvelles de prévention en partenariat avec Jeunesse Feu Vert d’une part, et l’APCARS d’autre part : d’une part la lutte contre le trafic dans les XXe et XIe arrondissement, avec un dispositif d’insertion dans l’emploi de jeunes sous main de justice, et d’autre part l’hébergement des conjoints violents permettant une effectivité des mesures de décohabitation et une meilleure sécurité et sérénité des conjoints battus, le plus souvent des femmes.


Au plan budgétaire, la Ville de Paris consacre un peu plus de 270 Millions d’Euros au budget spécial de la préfecture de Police, dont 75 Millions environ au contrôle du stationnement et autres actions de verbalisation des Agents de Surveillance de Paris, et près de 80 Millions à la Brigade des Sapeurs Pompiers.

Par ailleurs, la ville consacre 200 Millions à ses propres politiques de prévention, comme l’indique le Compte Rendu de mandat du Maire de Paris, et de l’ordre de 15 Millions de fonctionnement pour la protection et la gestion de crise, hors masses salariales.

La masse salariale de la DPP se situe aux environs de 40 Millions d’Euros.

Une part importante des budgets de fonctionnement et de personnels d’autres directions, comme la DEVE, avec près de 600 AAS dans les squares, correspond aussi à des missions de sécurité.

Au total, la ville de Paris consacre donc plus de 500 Millions d’Euros par an aux politiques de prévention et de sécurité.


c/ Dans les années qui viennent

Dans les cinq ans qui viennent, nous allons continuer à démontrer que, face à une situation préoccupante, la Ville prend pleinement ses responsabilités d’acteur de la Sécurité et de la Prévention à Paris.

L’objectif ambitieux du programme municipal est de créer 6 nouvelles équipes de Correspondants de Nuit en 6 ans ; cet objectif est déjà rempli au tiers.

J’ai demandé au Maire de Paris de créer, dès l’année prochaine, des intervenants de proximité en commissariat, personnels municipaux, qui pourront orienter les publics fragiles, auteurs et victimes, au-delà du commissariat, vers les services et vers les soutiens dont ils ont besoin, au plan technique, psychologique, social. Tout Paris devra être couvert avant la fin du mandat.

Nous développerons les politiques de prévention, y compris par la dissuasion, donc par la verbalisation, des incivilités ; il faudra pour ce faire aller vers une unité et une visibilité, meilleures des règles et des forces qui régissent l’espace public, et qui sont aujourd’hui dispersées entre des textes épars et des administrations différentes de la Ville de Paris.

Le programme municipal prévoit que nous doublerons le nombre d’écoles dont les sorties sont surveillées pour éviter les accidents.

Enfin, nous allons devoir penser la prévention et le partenariat de sécurité à l’échelle de l’agglomération parisienne. J’ai suggéré à Bertrand DELANOE et Pierre MANSAT de proposer, au sein de Paris Métropole, une commission sécurité et prévention. Il faut que les élus se coordonnent à l’échelle de la métropole, de même que la préfecture de police a su s’adapter à la réalité du bassin de délinquance, pour conserver un équilibre partenarial qui porte ses fruits. D’ores et déjà, j’ai demandé aux Maires des arrondissements périphériques d’examiner la possibilité de nommer leurs homologues des communes voisines dans leurs Conseils de Sécurité.


Conférence de presse de Georges SARRE, Maire adjoint de Paris à la Prévention et à la Sécurité
En conclusion, le Maire de Paris entend bien jouer pleinement son rôle de coordinateur des politiques de prévention de la délinquance et d’acteur des politiques de sécurité, dans un esprit républicain qui n’exclut pas l’échange, y compris contradictoire, avec nos partenaires, et dans lequel la collectivité parisienne est d’autant plus forte, qu’elle assume pleinement les missions qui sont les siennes, en y consacrant énergie, effectifs et moyens. Je vous remercie./


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